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LE BONHEUR N'EST PAS UNE IDEE MAIS UNE CONSCIENCE
17/06/2013 08:54Nous avons a conjuguer ces deux injonctions :
1 - « On n’est pas là pour rigoler » ou « tu ne peux pas être heureux » puisque d’autres ne peuvent pas rigoler, qu’il y a tant de choses qui vont mal et que, de toutes façon, il reste tant à faire.
2 - « Tu dois être heureux quand même » puisque tu as la chance d’avoir plus (de santé, d’argent, de relations, de biens, de sécurité matérielle ou affective …), puisque tout va bien (…)
Nous obtenons ainsi un mouvement de cisailles ou de mâchoires qui casse ou broie l’élan de vie en instaurant dans le cœur de beaucoup d’entre nous non pas la confiance en soi et en la vie, mais le doute, voire la peur d’exister, d’être vivant, d’être soi, d’occuper pleinement sa place.
Cette double injonction, à la fois déchirante et tétanisante, créé une inhibition fondamentale encodée dans notre disque dur (…)
Ce qui est tragique dans une telle double injonction, c’est qu’elle soit à la fois généreuse dans son intention (« c’est pour ton bien que je te dis ça ») et, le plus souvent, implicite dans son expression, et ainsi doublement dotée du pouvoir de s’imprégner incognito, de façon subliminale, dans notre inconscient. L’encodage étant donc inconscient, le piège est parfait : inconnu, invisible, inusable.(…)
« Vous savez, on n’a pas le choix. La vie c’est comme ça. Faut encaisser les coups si on veut survivre … » (…)
« J’ai du mal à être heureuse. J’ai encore de la difficulté à m’arrêter de faire ou de courir pour goûter la vie. Je sens que je suis programmée pour l’action et le résultat. Comment pourrais-je m’arrêter pour souffler un peu ? »
Que d’énergie ainsi perdue à gérer cette tension, à tenter de résoudre cet interminable conflit intérieur, cette querelle intestine ! (…)
Surtout quelle priorité nous accordons, pas seulement dans nos vies individuelles, mais aussi dans la vie même de nos communautés et de nos sociétés, à anticiper le pire plutôt qu’à préparer le meilleur, à nous défendre d’une menace éventuelle plutôt qu’à nourrir la confiance !
Thomas d'Ansembourg "Etre heureux, ce n'est pas nécessairement confortable"
AIDER AU MIEUX
16/06/2013 08:10J'ai envie, aujourd'hui, de vous faire "rencontrer" une femme Québecquoise, Marie-Pier CHARRON, qui a créé une lettre quotidienne sur son site "Matin Magique".
Voici le lien pour lire sa lettre éditée le 31/05/2013
VOIR plus, PENSER moins
15/06/2013 09:41- Notre objectif ici n’est pas de faire de la philosophie. On peut être d’accord ou pas avec les idées et les constats que nous avons formulés, peu importe. Nous ne cherchons pas à établir des lois comportementales. Ce qui nous intéresse (…) c’est d’apprendre à fonctionner ensemble de façon plus satisfaisante. Ce qui nous intéresse c’est le processus d’apprentissage, pas les théories.
Et notre premier pas dans notre processus d’apprentissage nous invite à regarder, à voir comment nous regardons la vie, et surtout, à voir comment nous nous regardons nous-même (…) Peu à peu cela deviendra une habitude : VOIR plus, PENSER moins. Observez comment vos pensées interviennent et compliquent l’existence, et relâchez-les. Observez ce que vous ressentez et accueillez ces ressentis sans les « penser ». Observez la réalité à laquelle vous êtes confrontés, et si vous pensez qu’elle ne vous convient pas, cherchez à la voir différemment.
VOIR
Stratégies de succès (options créatives)
- Il n’y a pas de regard objectif
- Je vois la vie, les choses, les gens à travers mes filtres colorés
- Je donne à ce que j’observe le sens que les choses ont pour moi
- Je suis 100% créateur de la réalité que je crois observer
- Ce qui est vrai pour moi n’est pas nécessairement vrai pour un autre
- J’ai tendance à croire que je connais, alors qu’en réalité je ne connais pas
- J’ai tendance à voir dans le présent ce que j’ai enregistré dans le passé
- Voir les choses d’un point de vue de « non-savoir » offre davantage de puissance et de possibilités créatives
- Je peux toujours choisir de voir les choses avec un regard différent
- Il est plus facile de modifier notre perception des autres que de changer les autres
- La manière dont nous percevons les autres nous en dit plus sur nous-même que sur les autres
- Il m’est utile de m’observer moi-même, <sans porter aucun jugement>
Stratégies d’échec (options menant à l’impasse)
- ce que je vois est vrai
- ce que je sais est vrai
- ce que je sens est vrai
- ce que je pense est vrai
- les choses sont telles que je les vois
- si tu ne vois pas les choses comme je les vois, c’est que tu regardes mal
Michel CLAEYS BOUUAERT « Pratique de l’éducation émotionnelle »
JE VOIS CE QUE JE CROIS
14/06/2013 09:00- Ce que l’on croit de la réalité du monde environnant, agit comme un filtre, comme une paire de lunettes sélective qui nous amène à surtout voir les détails allant dans le sens de ce que nous croyons…Si bien que cela renforce nos croyances. La boucle est bouclée. Si l’on croit que le monde est dangereux, on va effectivement porter son attention sur tous les dangers réels ou potentiels, et on aura de plus en plus le sentiment de vivre dans un monde dangereux.
- C’est logique finalement
- Mais cela ne s’arrête pas là. Nos croyances vont aussi nous permettre d’interpréter la réalité.
- Interpréter ?
- Vous évoquiez tout à l’heure les expressions de mon visage. Ces expressions, tout comme ma gestuelle d’ailleurs, peuvent être interprétées de différentes manières. Vos croyances vont vous aider à trouver une interprétation : un sourire sera perçu comme un signe d’amitié, de gentillesse, de séduction ou d’ironie, de moquerie, de condescendance. Un regard insistant, comme un signe marqué d’intérêt ou, à l’inverse, comme une menace, une volonté de déstabilisation. Et chacun sera convaincu de son interprétation. Ce que vous voyez sur le monde vous conduit à donner un sens à tout ce qui est ambigu ou incertain…Et cela renforce vos croyances. Une fois de plus.
- Je commence à comprendre pourquoi vous disiez que ce que l’on croit devient notre réalité.
- Oui, surtout que cela ne s’arrête pas là.
- C’est infernal votre truc !
- Quand vous croyez une chose, elle vous amène à adopter certains comportements, lesquels vont avoir un effet sur le comportement des autres dans un sens qui va, là encore, renforcer ce que vous croyez. Restons dans le même cas de figure : vous êtes convaincu que le monde est dangereux, qu’il faut se méfier. Comment allez-vous vous comporter quand vous rencontrerez des gens nouveaux ?
- Je vais rester sur mes gardes.
- Oui et votre visage sera vraisemblablement assez fermé, pas très engageant.
- Certes.
- Mais ces personnes qui vous rencontrent pour la première fois vont le percevoir, le sentir. Comment vont-elles elles-mêmes se comporter vis-à-vis de vous ?
- Il y a en effet des chances pour qu’elles restent sur leurs gardes et ne s’ouvrent guère à moi.
- Exactement ! Sauf que vous, vous allez le voir : vous allez sentir qu’elles sont fermées, un peu bizarres avec vous. Devinez comment vous allez l’interpréter, sous l’emprise de vos croyances.
- Je vais évidemment me dire que j’ai raison de me méfier.
- Vos croyances se renforceront
- C’est terrible.
- Dans ce cas, oui. Mais cela marche aussi dans l’exemple inverse : si vous êtes, au fond de vous, convaincu que tout le monde est sympathique, vous allez vous comporter de manière très ouverte avec les gens, vous allez sourire, vous montrer détendu. Et bien sûr cela va les conduire à s’ouvrir eux-mêmes, à se détendre en votre présence. Vous aurez inconsciemment la preuve que le monde est bien sympathique. Votre croyance se renforcera. Mais il faut comprendre que tout ce processus est inconscient. C’est en cela qu’il est puissant. A aucun moment vous ne vous direz consciemment : « C’est bien ce que je croyais, les gens sont sympathiques ». Non. Vous n’aurez pas besoin de vous le dire parce que pour vous c’est normal. C’est ainsi, les gens sont sympathiques, c’est une évidence. De la même manière, ceux qui croient qu’il faut à tout prix se méfier des autres trouvent naturel de rencontrer des gens fermés, désagréables, même s’ils le déplorent par ailleurs.
- C’est dingue. Finalement, sans s’en rendre compte, chacun se crée vraiment sa propre réalité, qui n’est, en fait, que le fruit de ses croyances. C’est vraiment dingue. Hallucinant !
Laurent Gounelle "l'homme qui voulait être heureux"
LA JOIE EST UN CADEAU POUR TOUS
Impact de notre perception de l'extérieur
LE BONHEUR N'EST PAS UNE IDEE MAIS UNE CONSCIENCE
JE PARDONNE A MON ENFANT INTERIEUR
MESSAGES "JE" = MESSAGES JUSTES
NOUS SOMMES CE QUE NOUS PENSONS
LE CONTE DE LA MAMAN PIE TRES SOUCIEUSE DU BONHEUR DE SA FILLE
ELEMENTS DE BASE POUR UNE COMMUNICATION REUSSIE
JE et TU co-responsables du NOUS
de JE à TU pour aller vers NOUS
JUSTE CONNAÎTRE POUR ETRE LIBRE
Le danger des changements cosmétiques
la loi du plus fort n'est pas toujours la meilleure
LA RESISTANCE CAUSE LA GRAVITATION
à la recherche d'une lucidité meilleure
renouer avec notre féminin sacré
De la dépendance amoureuse à la liberté d'aimer
Lettres de Marie-Pier CHARRON