Oh que oui je me pose toujours la question "pourquoi faire ce projet ? quand ? où ? avec qui ?" avant de mettre en place un des projets qui me traversent l'esprit. Je prends le temps de recul nécessaire pour vérifier si ce projet a du sens pour moi MAINTENANT.
« Mon besoin essentiel est le besoin de créativité dans laquelle je ressens l'intensité de la vie, indispensable à mon bien-être...je vis l'épanouissement de mon être, je vis la liberté d'être moi-même, tout simplement.
La créativité n'est pas ce que l'on croit, la créativité peut simplement s'exprimer dans la façon de faire son lit, par exemple. Il y a plusieurs manières de faire un lit mais lorsque je suis dans l'authenticité de moi-même, je le fais à ma manière. C'est là que je vis ma liberté de faire et d'être moi-même, c'est à ce moment que j'apprécie l'intensité de la vie dans ma façon d'être et de faire, avec pour seule intention d'être moi-m'aime »
Sophie Lepage
"Parfois j'aimerais être quelqu'un d'autre. Puis je me rends compte que la seule chose que je n'aie pas encore essayé d'être, c'est moi-même" Anne Wilson Schaef.
Compte tenu de sa propre histoire à chacun(e), il est possible que l'on ait des difficultés à saisir les contours de sa propre personnalité. Les questions à se poser : Qu'est-ce qui changerait dans ma vie si je commençais à voir que, essentiellement, les gens se ressemblent tous ? Qu'est ce qui changerait dans ma vie si je ne devais plus craindre d'être tout à fait moi-même ?
Tout le monde est exceptionnel et unique, et c'est pour cela que personne ne l'est.
Si, dans l'enfance, nous étions impuissants, nous ne le sommes plus aujourd'hui. Nous pouvons découvrir l'impact de notre enfance sur nos perceptions actuelles et nous pouvons modifier ces perceptions.
Voilà ce qui peut nous calmer et nous ramener au bien-être intérieur pour aller vers la liberté d'ETRE, tout simplement. Lâcher la course vers le bonheur ou vers quoi que ce soit pour ETRE PRESENT A CE QUI EST, tout simplement.
Nous ne sommes pas là pour réaliser une mission, nous sommes sur Terre pour ETRE PRESENT(E) à ce qui se passe en nous lorsque nous faisons quelque chose (une expérience, une rencontre, un ouvrage, un partage) et l'apprécier. Observer ce que ça change en nous, les tensions que ça nous enlève ou que ça nous apporte et comprendre alors les causes de nos résistances.Je n'ai pas appris cela de ma mère, profiter de la vie tout simplement et je souhaite vous transmettre cette révélation que je me suis faite après beaucoup d'années de travail de "dépouillement" des pensées encombrantes qu'elle m'a "partagées" croyant bien faire et que j'ai partagées, en partie, croyant bien faire aussi selon mon niveau de conscience du moment où j'ai partagé ces "pensées encombrantes" avec mes enfants, entre autres.Après avoir regardé cette vidéo, vous comprendrez ce que je veux exprimer, par là ...https://www.youtube.com/watch?v=whAFLhSWdsA
"Si tu cours après ce qui a du sens pour toi, alors va ... sinon arrête-toi et écoute-toi respirer, écoute, écoute ce qui se passe" Sophie Lepage
"Ce n'est pas mourir que d'abandonner un projet si ce n'est que pour créer de la nouveauté et avancer sur son chemin" Sophie Lepage
Vivre en se posant la question source : Pourquoi suis-je ici, maintenant, et en ce moment et qu'est-ce qui a du sens pour moi, pour vivre en toute authenticité ? Sophie Lepage
"à la question qui suis-je ; la réponse que je me donne est JE SUIS ICI
à la question quand suis-je ; la réponse que je me donne est MAINTENANT
à la question où suis-je ; la réponse que je me donne est DANS CE MOMENT"
j'ai appris l'existence de ces réponses en Communication Non-Violente. Les essayer c'est les adopter. Elles sont source d'apaisement et de tranquillité.
Sophie Lepage
"TOUT EST JUSTE : ce qui est dit, ce qui est ; notre travail : ACCEPTER !
Quand on n'arrive pas à accepter quelque chose, la 1ère chose c'est d'accepter qu'on n'arrive pas à accepter. C'est le 1er pas.
Il est normal de ne pas pouvoir l'accepter. C'est tout un chemin qu'on peut travailler au niveau du chakra du coeur. L'amour est la clé du bien-être."
« Notre société de consommation nous donne l'illusion que les valeurs marchandes qu'elle propose nous met au contact de l'intensité de la vie. Ainsi elle nous tient prisonniers et dépendants d’ une excitation passive » Sophie Lepage
Que fait un parent pour "déresponsabiliser" son enfant et se croire puissant ? Il fait TOUT à sa place ! Il pense à sa place ! Et surtout, il justifie "pourquoi il fait comme ça et pourquoi il pense comme ça" et dans le pire des cas "pourquoi il n'y a qu'une façon de faire, la sienne, et qu'une façon de penser, la sienne". Sophie Lepage
"Parfois, ceux qui veulent le pouvoir pour créer de la "richesse" (surtout pour eux-mêmes) oublient de créer en même temps du lien social. Plus la société se matérialise, plus elle privilégie le FAIRE, moins elle est humaine et moins elle EST un ETRE VIVANT." Sophie Lepage
« Ne soyons pas "sagement" dans l'organisation collective comme des « adultes-enfants », qui délèguent leur pouvoir aux autorités (l'Etat, les Compagnies, ...) qui s'occupent de TOUT ! Comme dit justement Jamel Debouzze dans un de ses sketches "TU s'occupes de rien, JE S'OCCUPE DE TOUT !". Nous avons le pouvoir d’être responsables de ce que nous voulons » S.Lepage.
"Notre véritable travail est de retrouver notre liberté de faire et de penser, pour nous-mêmes. C'est le travail du développement personnel, de son propre épanouissement, des "retrouvailles" avec son être profond." Sophie Lepage
"Cette société de consommation aspire notre énergie créatrice et alors nous devenons vides de sens et vides de l’énergie bienfaisante nourrie par la qualité de notre présence à l’autre. Nous sommes alors éloignés de notre humanitude" Sophie Lepage
"Vivre, laisser mourir, accueillir, ... avec patience, conscience et curiosité"
Nous, les femmes, nous avons l'expérience unique de la "Vie-Mort-Vie". Lorsqu'arrivent nos premières règles, nous devons laisser mourir la petite fille pour accueillir la jeune fille capable de créer la vie. Puis nous laissons mourir notre narcissisme de jeune fille (déf. : amour exclusif de notre propre personne) pour accueillir l'homme, avec lequel, nous accueillerons, ensemble, nos enfants. Nous devenons alors femme. Notre vie n'est pas linéaire et nous devons quitter une salle l'une après l'autre pour entrer dans une nouvelle salle, à chaque fois. Quelquefois, nous pouvons rester longtemps devant la porte qui ouvre à une nouvelle salle, avec l'envie de saisir la poignée et entrer, et en même temps, bloquées par nos croyances et nos peurs limitantes. Notre cerveau est peut-être plus agité que celui des hommes qui craignent moins de "vivre et laisser mourir pour accueillir la nouveauté". Notre mémoire est plus apte à retenir les "bons conseils des vieilles femmes" qui se tranmettent, et peut-être par fidélité à notre part féminine, elle refuse de laisser tomber "les bons conseils" qui empêchent d'aller ... expirer puis "inspirer la vie" !
Sophie LEPAGE
CE QUI NOUS EMPECHE DE NOUS SENTIR BIEN, A NOTRE EPOQUE DU XXI ème siècle :
1 – le déséquilibre entre la place occupée par la féminité et celle occupée par la masculinité. Nous les femmes, nous devons reprendre notre espace dans tous les domaines de la vie en tenant compte de l’importance de la parité homme/femme (YING/YANG). Lorsque nous aurons emprunté la voie du milieu, nous aurons alors trouvé l’équilibre intérieur et la confiance qui nous mèneront à la joie de se sentir exister.
2 – notre dialogue doit être authentique (basée sur le principe de la CNV) dans lequel chacun ose se montrer tel qu’il est, tel qu’il ressent, et où chacun ose parler de ses sentiments et de ses besoins. En parler c’est en prendre soin, les faire exister, les reconnaître. C’est se reconnaître soi-même. C’est aussi attendre moins que l’autre vienne à satisfaire nos besoins (dans ma baignoire personnelle du besoin satisfait, je deviens autonome, indépendante et libre)
3 – le temps doit être pris en compte dans ce qu’il est différent pour chacun de nous. Prendre le temps de s’entendre respirer, de s’entendre exister. C’est occuper l’espace du présent, de ce qui est : « les choses sont ce qu’elles sont et elles seront ce qu’elles seront ».
Prendre le temps de donner les soins nécessaires à soi-même, à l’autre, à la nature, à la communication entre les femmes et les hommes, tous différents.
Prendre le temps de donner une écoute au point de vue de chacun.
Prendre le temps de donner, tout simplement, sans attendre en retour, une quelconque rémunération. Pourquoi l’amour s’achèterait-il ? Pourquoi payer pour se faire entendre (psychologue) ? Pourquoi payer pour être touchée ? (massages) Pourquoi payer pour prendre du temps ensemble en toute convivialité ? (associations de loisirs) Pourquoi payer pour recevoir des informations (associations orientées vers la formation) alors que la gratuité existe ... sur internet ?
Suis-je en vie sur la Terre pour être une valeur marchande ? Qui a décidé de cela ? Je suis pour l'existence d'un revenu de base afin que chacun puisse exister par soi-même et non en rapport avec l’argent qu’il doit gagner. Il n’y a qu’à voir les solutions alternatives créées par le public modeste, voire pauvre économiquement mais surement pas dans leur essence humaine. Certainement qu’ils seront suffisamment libres pour être aptes à vivre, autonomes, lorsque les ressources nécessaires à la folie économique de notre époque seront taries.
4 – la haine que nous avons stockée dans notre subconscient vis-à-vis de nos éducateurs qui nous ont empêchés d’Etre. C’est ici le lieu de notre travail spirituel afin de remettre en place les objets de nos rancunes, c’est un long parcours qu’il est nécessaire de commencer le plus tôt possible. Certes nous sommes pétris de colère non-exprimée à une époque où nous étions complètement dépendants de nos parents pour vivre. Nous n’avions pas le pouvoir de nous opposer à leur autoritarisme, leur égoïsme et tous les « ismes » qui ont causé nos souffrances. Apprenons à reprendre notre Pouvoir, à nous affirmer tels que nous sommes, à nous détacher des modèles limitants du passé.
Le stade de notre évolution humaine, aujourd’hui, nous le réclame.
Etre dignement humain c’est nous remplir d’amour pour nous-même , en priorité, pour pouvoir aimer l’autre, ensuite. Je gage que cet « ensuite » ne viendra pas trop tard ,pour nous amener vers la paix. Sinon ce serait un aller vers une violence inimaginable devant notre échec insupportable et invivable de ne pas pouvoir s’accueillir dans la paix et accueillir l’autre tel qu’il est, dans l’amour.
Sophie LEPAGE
OUI ! chaque jour ma vie se transforme et m'apporte Bonheur et Santé. Je suis créatrice , la seule et unique créatrice de ma vie. Par ma pensée, qu'elle soit positive ou négative, je créé. Je prends conscience qu'à chaque seconde de ma vie, je créé.
Ainsi j'annule immédiatement toutes les idées sombres pour laisser uniquement place aux pensées de Lumière.
Je m'aime et j'accepte qui je suis, comme je suis. Ce n'est pas ma personnalité que j'aime, mais le Divin qui est en moi et qui manifeste cette partie pure de mon Etre. Je dédramatise ma vie et je prends du temps pour moi, pour m'amuser et prendre soin de moi. Je cesse ainsi de chercher à l'extérieur tout ce qui donne l'illusion de combler mes vides intérieurs.
Je reviens encore et encore et encore à porter toute mon attention dans ma respiration.
Sophie LEPAGE
"Dans ce monde qui nous déssèche, si l'on ne veut pas mourir de soif, il nous faudra devenir source " Christiane SINGER
A propos du comportement de l'humain, nous parlons aujourd'hui de gaspillage dans tous les domaines. J'ajoute que ce que nous gaspillons en premier c'est l'énergie vitale et, AVEC, notre capacité à aimer la Vie. Nous ne donnons plus la priorité à la réalisation de nos choix de vie et à satisfaire un besoin essentiel puisqu'il est universel, "AIMER". Notre première motivation d'être sur Terre, "apprendre à aimer". Apprendre à s'aimer pour pouvoir aimer l'autre, inconditionnellement. S'arrêter de courir après des fantasmes, s'ancrer dans la réalité et marcher vers la source.
Sophie LEPAGE
Si je ne connais pas la culpabilité
Je peux vivre mon bien-être en toute sécurité
Sans tenir compte du bien et du mal
A moi la responsabilité de trouver mon Graal
Je garde dans mon coeur, uniquement
La bienveillance dans ton regard
Je garde en mémoire, simplement
Les moments de bien-être et de Joie
Qui correspondent à ce que je suis, Moi.
Je me débarrasse de ce qui ne m'appartient pas
Et que je me suis appropriée dans l'Ignorance
J'accepte de respirer librement et laisser circuler
A travers moi, ma source, en toute confiance
C'est à la Fontaine de Jouvence que je vais me ressourcerSophie LEPAGE
Dans le "laboratoire" de la communication non-violente, je goûte à la joie d' apprécier le moment où je peux contacter mon potentiel d'humanité. Je peux sortir de ma colère grâce au temps que je m'offre à l'auto-empathie. Ce temps me permet de me ré-ouvrir à l'amour que je porte au plus profond de moi-même et qui me permet d'aller avec empathie, vers l'autre. Je sors de ma "bulle" dans laquelle mes blessures profondes ont été touchées par l'autre, et dans laquelle je risque de rester bloquée, incapable, alors, de porter une attention bienveillante à l'autre. Je mesure l'importance du temps à se donner à l'auto-empathie.
J'existe vraiment lorsque je suis dans la communication non-violente.Je me souhaite d'expérimenter, le plus souvent possible, la paix dans la communication avec l'autre et la liberté de pouvoir affirmer ma puissance d' humanité qui est là et lui donner toute sa place.
"Tant que je nourris la croyance que tel que je vois, tel que je sens, tel que j'entends, tel que je goûte, tel que je suis touchée, alors l'autre voit, sent, entend, à la saveur et est touché, tout comme moi ... alors je reste dans l'ignorance" Sophie Lepage
" Ce que je perçois à travers mes sens, aujourd'hui, est l'aboutissement de ce qui a été dans ma vie, jusqu'ici" Sophie Lepage
"Je suis donc seule à ressentir la vie telle que je la ressens. Il est donc important de partager ce que je ressens si je veux me faire connaître et me reconnaître moi-même, telle que je suis aujourd'hui, tout en sachant que je suis en perpétuelle évolution. Je peux m'exprimer d'une façon aujourd'hui et d'une autre façon, demain" Sophie Lepage
FEMME AU FOYER,
Je suis bien un élément économique,
Je demande à être rémunérée pour cela !
JE DEMANDE UN REVENU POUR NOUS LES FEMMES AU FOYER ET EN MEME TEMPS POUR CHAQUE INDIVIDU AFIN QU'IL PUISSE GAGNER SON AUTONOMIE VIS-A-VIS DE L'ARGENT!
- Je contribue en premier à l’harmonie familiale,
- J’ assure une présence 7 jours/7 et 24H/24 (je dépasse la semaine de 35 heures !)
- J’apporte une Sécurité pour les membres de la famille (linge entretenu, repas prévus voire préparés)
- J’Ecoute, j’accompagne les membres de ma famille
- Je participe à un Environnement agréable, apaisant (rangé, propre, décoré)
- Je travaille à mon Equilibre (je prends soin de moi, je pratique le développement personnel à travers des activités créatrices) = Je contribue à l’Equilibre des membres de ma famille
- Je suis la base du lien social (je prends le temps de donner du temps attentionné aux amis, aux parents, aux voisins, aux commerçants/artisans)
- Je jongle comme un chef d’entreprise pour gérer au mieux mon temps et le budget de ma famille,
- Je suis seule dans cette activité, à moi seule de trouver les outils de la confiance pour croire en ce que je suis, pour demeurer en même temps fière et humble de ce que je fais puisque mon travail n’est pas valorisé (argent, compliments, reconnaissance)
- Un revenu d'existence de base pourrait contribuer à mes dépenses personnelles !
"C'est fatiguant et stressant de comparer ses compétences par rapport aux autres. Nous dépensons beaucoup d'énergie, dès le plus jeune âge, pour paraître le meilleur dans tous les domaines. Pourquoi ne pas se comparer plutôt à soi-même ? C'est tellement plus rassurant et épanouissant de mesurer ses progrès et la fierté qu'on en tire est tellement plus saine" Sophie Lepage
Se comparer à soi-même ; méthode
Choisir chaque semaine une tâche que j'assumerai moi-même pour la mener à bien. Le sentiment de compétence se construit à partir de l'expérience, et personne ne peut me la transmettre. On a beau posséder toute une bibliothèque de développement personnel, tant qu'on n'agit pas, on stagne. Le changement passe par une accumulation de petites réussites. "Je suis capable de terminer cette tâche malgré ce que j'éprouve". Je me félicite à la fin d'autant que j'aurai tendance à minimiser ma propre performance.
"Aujourd'hui, je chercherai en moi-même les réponses et j'aurai confiance en ma capacité à les découvrir. Je fais appel à mon intuition."
Sophie Lepage